
On aperçoit Gogol 1er au détour d’une clairière qui blasphème au travers du corps de la schtroumfette Warrior, il dispute ce canal vocal fascinant à la pureté insouciante des chants de l’enfance.
Des peurs bleues, des nuages noirs, de la magie blanche, des monologues intérieurs mis à jour sur des pistes de danses improvisées sous les arbres en polystyrène et les fougères en plastique, un conte cruel de la jeunesse, bienvenu dans « vous n’allez pas repartir les mains vides » le dernier disque des Sexy Sushy.
STiMBRE
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